Non seulement ils envahissent les P.O., les vioques, mais en plus ils consomment et font vivre le petit commerce et l’artisanat local.
On va finir par les y préférer aux « djeuns » et peut-être même vouloir les garder ... enfin, aussi longtemps que c’est possible.
Si vous aviez vu la tignasse de mon individu du quatrième type :
une forêt vierge.
Et regardez, maintenant que Louisa est passée par là, chez Coiff’ 2000 !
En plus, admirez le beau ton de la façade, et l’ombre du clocher de l’église de Corneilla : quelle composition classieuse.
Notez que, les vioques, c’est irremplaçable, sauf par d’autres vioques, de toute évidence. Quand j’y pense, le vioque de demain .... ben, c’est moi bien sûr !
Encore six fois dormir et Marc vient fêter mon anniversaire à Corneilla. Je me demande s’il prendra un rendez-vous au salon de coiffure. Suis-je bête, Marc a un an de moins que moi : ce n’est pas tout à fait un vioque. Mais demain ?
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Nike Zoom Rookie (mardi, 20 mars 2012 11:02)
You say there are so many factors, so many of the essence, is hit the nail on the head. Very good!