PIRE QUE LA BOXE

Les risques du métier
Les risques du métier

 

Vous l’aurez compris, la boxe professionnelle devrait pour moi rejoindre les oubliettes, comme les jeux du cirque, les combats de coqs et les autres spectacles sanglants indignes d’un être civilisé.

 

 

Je pense la même chose de la quasi-entièreté de la tauromachie, à l’exception sans doute de la course aux vachettes dans les rues des villes ou bien les courses de taureau à la portugaise avec le forcado et sans mise à mort. Il ne s’agit pas de sensiblerie – je mange de la gardiane de taureau et des cuisses de grenouille – simplement d’un souci de dignité humaine.

 

Aujourd’hui s’est tenue à Céret une tienta : on y taurée en public (10 € la place), avec les costumes d’apparat, de jeunes vaches reproductrices, pour tester leur caractère. Un des toreros participant à cette lâcheté en explique le déroulement et ajoute que normalement, cela se passe en comité restreint dans le secret des manades, les propriétaires n’aimant pas afficher en public le manque de « bravoure » éventuel de leurs produits. On envoie « à la pique », c-à-d se faire abîmer la moëlle épinière par le picador, des vachettes destinées à la saillie pour voir si elles y retourneront après la première blessure, si elles ont suffisamment d’agressivité pour enfanter des taureaux de combat.

 

Christine a eu le commentaire approprié : elle suggère d’envoyer « à la pique » les couilles du torero en question pour voir s’il y retournera !

 

Allez, sur ce, encore quatre fois dormir et mon ami Marc, avec Nathalie, viennent fêter mon anniversaire !

 

Une fois mort le dernier matador,

L’humanité aura gagné un point en qualité.

 

 

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Commentaires: 1
  • #1

    Ray (mercredi, 30 mai 2012 16:37)

    Appreciate your details