DE L'ORGE POUR MAJOU

DENIS BOIREAU EST UNE CYBER-RENCONTRE.

”Light amplification by stimulated emission of radiation”, cela vous dit?

Lui bien, il étudie, met au point et vend aux armées du mal

(US et Tsahal) des détecteurs laser très sophistiqués.

A part cela, nous avons sympathisé sur le blog de Monsieur Jacques Berthomeau lui-même. Comment cela, vous ne voyez pas le rapport ?

Et nous avons échangé des vues, plutôt concordantes sur certains points –

Denis n’aime pas trop le bullshit et les élucubrations pseudo-ésotériques.

Par contre, Denis tient pour roupies de sansonnet ma nostalgie de l’utopie et ma naïve attirance vers un monde meilleur.

Il possède, bien de famille en indivision – faudra que ses copains bombardiers viennent régler la succession par un tir chirurgical guidé au laser – un adorable cottage sur l’Île d’Yeu.

Il m’y a emmené pêcher, à la rame s’il vous plaît, du tourteau, de la vieille, de l’étrille ... mais pas de homard ce jour-là. Notez que الأهرام (Al Ahram, ce qui veut dire « Les Pyramides ») ne plaît pas à ses copains du Mossad.

Je lui ai fait parvenir un petit échantillonnage de mes vins, pour un club de dégustation qu’il anime dans le Neuf-Un et voilà ce qui en ressort. J’ai laissé de côté les appréciations sur les vins des collègues, pas toujours flatteuses. Il ne s’agit pas de censure.

Je pense que La Loute aurait dû être dégustée avant les grenaches : la finesse et l’élégance du carignan font parfois « fluet » après la puissance brutale du grand cépage catalan.

En tout cas : merci à toi, Denis.

 Puisse Alfred Kastler veiller sur toi, d’aéroport en aéroport.