L'IRLANDE N'EST PAS LOIN (III)

Inès Marie Lætitia Églantine Isabelle de Seignard de La Fressange
Inès Marie Lætitia Églantine Isabelle de Seignard de La Fressange

 

 

Notre

Troisième Dame de Trèfle

m’a été remise en mémoire par un blog ami.

 

Issue d’une famille d’aristocrates auvergnats, mais également d’une mère mannequin en Argentine, sa plastique me rappelle Fanny Ardant et elle possède le même sourire irrésistible.

 

 

 

 

Comme j’aime les petites digressions, je vous livre ce qu’un ami carioca m’a dit un jour des Argentins :

- « Il s’agit d’Italiens parlant l’espagnol et qui se prennent pour des Britanniques ».

 

Je ne m’étendrai pas sur la biographie de la belle, son métier représente tout ce qu’il y a de plus futile mais elle l’a exercé avec intelligence, sans scandale retentissant concernant sa vie privée et en sachant se préserver des grands fauves de ce milieu. On l’appelait « le mannequin qui parle ». Respect pour elle en dépit de mon peu de goût pour ces sphères.

 

Il existe une similitude entre la haute couture et la viticulture : quelques marques créent l’image, donnent du travail très spécialisé et font rentrer des devises. La valeur ajoutée réelle de ces « griffes » est difficile à estimer, notamment pour les produits du prêt-à-porter qui en sont dérivés. Je suppose qu’un vêtement original, créé à l’unité et réalisé par des « petites mains » aux doigts de fée dans des matières inestimables doit être une vraie merveille. Pour la « grande série », je n’ai jamais porté de « tailleur Chanel » même si certaines de mes amies – quand j’étais petit – n’avaient sur elles que du Chanel Cristal® lorsque nous nous rencontrions : salut les filles !

 

 

On se passe de vêtements de ce type aussi facilement qu’on peut

traverser l’existence sans boire une seul goutte de vin.

Enfin, il paraît.

 

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