En ce jour pénultième de l’an de grâce 2011,
je m’en vais vous tenir informés, bonnes gens,
de deux billets parus coup sur coup, hier et avant-hier,
sur les blogs illustres de deux Français qui comptent.
Je respecterai l’ordre chronologique de ces chroniques. Logique, non ?
Comme mon prédécesseur Luc, lorsqu’il narrait la bonne nouvelle, je suivrai strictement le déroulement de chronos.
Ne voyez dans cette analogie aucun anachronisme,
Ni dans telle similitude orgueilleuse attitude.
Je ne brouillerai pas les cartes,
je reste fidèle à Descartes
Et si de mon anatomie je montre parfois trop
- c’est dans l’encyclopédie - j’éructe parfois dix rots.
Or donc, le Sieur Hervé Lalau, qui rejoignit la rédaction d’In Vino Veritas
« à poste fixe » peu de temps après que moi je l’eusse quittée, a eu l’insigne amabilité de s’épandre sur mon petit Casot.
Vous lirez tout ICI.
Le seul commentaire auquel je m’autoriserai
Est qu’il a raison en tout, sauf sur mes excès.
En effet, adepte de la dérision, bientôt je m’auto-rirai,
et tel le Jonathan chez les Lilliputiens,
c’est avec un martinet* que je me corrigerai .
(see foot-note)
Non content de l’encens, il me faut donc la myrrhe
Et c’est chez le Taulier que je l’irai quérir.
L’homme du rapport, autrement dit Berthomeau,
Sur le fruit de mes efforts, a eu quelques gentils mots.
Vous les lirez ICI.
* foot-note : sortez le Collins de la bibliothèque et cherchez-y la traduction de ce gentil sosie de l’hirondelle. Vous découvrirez alors, émerveillés, une paronomase de plus.
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u=6715 (vendredi, 26 avril 2013 12:25)
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