SAUVER LA MISE

Nouveautés au domaine
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Coume Majou vous l’avait dit, Coume Majou l’a fait !

Nous avons réalisé hier,

grâce à l’aide de Didier Vaquer et son équipe

(« L’Artisan de vos Mises en Bouteilles »)

la mise de 6 vins différents, dont deux cuvées spéciales pour le traiteur-restaurateur Fonteyne The Kitchen mais surtout TROIS NOUVELLES présentations « haut de gamme » - et le contenu aussi, bien entendu :

 

 

 

 

 

. Le Blanc de Coume Majou, Cuvée Civale, 2011 : il s’agit d’un 100 % macabeu, sec et très vif (fermentation malo-lactique non faite), extrêmement peu sulfité. Il vous laissera la tête fraîche !

 

Je serai à l’Accent Catalan (Waterloo) en fin d’après-midi le mercredi 18 avril pour vous le faire déguster en « première mondiale », ainsi que quelques autres vins de la gamme.

 

Mais vous pourrez également le boire à partir de la semaine prochaine au « Temple des Délices », le restaurant asiatique du Jardin Pairi-Daiza.

 

Je ne suis pas sûr que mes agents, Bernard Poulet s.a. et Werco Wines, le retiennent : leur gamme contient déjà de très beaux blancs dans la même catégorie, de Loire entre autres pour le premier, du Languedoc-Roussillon pour le deuxième. En outre, je n’en produis pas beaucoup. Je le leur ferai néanmoins déguster.

 

 

 

. La Loute 2011, Cuvée du Jubilé : vous savez tout sur elle depuis CECI.

 

 

 

. Roc Blanc 2011 : la composition se rapproche de celle de la Cuvée Majou que j’avais élaborée en 2005, sans l’apport des grenaches maurynates du Clots d’en Couloms et de la Coumo d’en Miquelet, qui avaient donné naissance à la Cuvée Miquelet cette année-là.

 

Il s’agit cette fois exclusivement de grenache et de lladoner pelut (un gros 60 %) et des carignans vendangés au Roc Blanc. Ils ont été cueillis à maturité très élevée (15 vol % pour l’assemblage) et ont subi un traitement « cool », la vinification ayant essayé d’intervenir le moins possible. Après la fermentation malo-lactique, le vin a été soutiré et mis au propre, sans aucun collage, et a été sulfité pour la seconde et dernière fois, la première ayant eu lieu à l’encuvage. Nous avons effectué la mise sans aucune filtration. Je dois vous dire que je suis extrêmement surpris du caractère déjà gourmand de cette bouteille, au lendemain de son passage en captivité. Bon, il y a des tannins ......

 

Et regardez l’habillage de nos trois petits nouveaux : bouteille élancée (nouveau modèle du verrier, spécialement prévu pour assurer l’étanchéité parfaite avec le bouchon en verre), capsule noire parfaitement emboutie, étiquettes originales et ... bouchon Vinolok® (voir ICI). Un seul inconvénient : le prix de revient, la nécessité de faire faire sur mesure des cartons de plus grande taille et l’obligation d’enfoncer le bouchon à la main sur chaque bouteille ... avec des gants, législation oblige. 

 

 

Un petit merci spécial à mademoiselle Martinez Marielle et à sa mère Christine Civale pour une longue journée de travail attentif. Cette dernière présentait en outre une phlébite au mollet gauche ... pas vraiment le pied quand il faut rester debout toute la journée !

 

 

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