JE REMERCIE MON PHARMACIEN ...

Platinix aux Jeux Olympix
Platinix aux Jeux Olympix

 

 

 

On a eu droit au Giro d’Italia, puis c’est Roland-Garros. Il y a les différentes phases finales des deux rugby (XIII et XV).

Bientôt, ce sera le Queens

et Wimbledon, et la

Coupe de foot,

et le ... Tour de France.

 

 

 

 

 

 

Je suis atterré de l’enthousiasme déclenché par .... la pharmacie de haut niveau.

 

David Cobbold (voir ICI) et Jim Budd (voir ) font preuve de ferveur aussi.  

Even to the point of deleting one of my posts addressing that issue ...

which is their (his, in fact) entire right, no question about that.

 

Bien sûr, la prouesse et la performance sont spectaculaires.

Bien sûr, la souffrance, l’esprit de compétition et le volume d’entraînement de ces athlètes sont admirables.

 

Mais ..... en dépit de la « présomption d’innocence » qu’on accorde à tout et n’importe quoi pour le moment, une grande majorité des sportifs de haut niveau sont soumis à des traitements modifiant dans une large mesure soit leur performance pure, soit leur endurance, soit leur état d’esprit, soit leur système nerveux sympathique.

 

Il est PATENT pour tout le monde qu’aucun organisme humain ne serait capable spontanément de 80 % des prodiges accomplis.

Je ne souhaite pas ici entrer dans un particularisme, mais il est évident que la longueur et la dureté des championnats de foot ou de rugby professionnels favorisent cela. Il en va de même pour l’effort surhumain auquel doivent se plier les cyclistes. Et la débauche d’énergie des tennismen/women, presque sans interruption d’une saison sur l’autre, en est une autre raison.

 

Pour le spectateur, c’est pourtant la LUTTE qui est belle, la compétition, pas la hauteur de la difficulté. Enfin, je l’espère.

Quand Ken Rosewall remportait Wimbledon – on ne trahit pas un secret médical en rappelant qu’il était diabétique à une époque où le traitement de cette affection était plus difficile que maintenant – le spectacle était époustouflant. Or, il est probable qu’il ne passerait pas un seul tour actuellement avec la condition physique qui est exigée à présent, à talent égal.

Quand le Carolo Bertoncello – les Belges de plus de 45 ans doivent s’en souvenir – ou le « Rouche » Roger Claessens poussaient la baballe, il n’est pas certain qu’ils aient toujours été très « à jeun » ni super-affutés. Pourtant, les supporters les appréciaient beaucoup.

Un formidable champion comme le fleurettiste Christian d’Oriola (originaire de Corneilla ..... del Vercol il est vrai) ne mettrait plus une seule touche dans un tournoi du circuit mondial à présent.

 

Par pitié, ne laissons pas des générations de beaux/belles athlètes

se faire détruire par l’industrie pharmaceutique,

les book-makers, les chaînes de télévision et les présidents de club.

En outre, ce sont les médecins du sport qui portent la responsabilté

la plus écrasante. Shame on them !

 

 

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