Tour de France : prologue près de Lantin

 

 

J’apprécie beaucoup

Jim Budd comme

chroniqueur oenologique.

Je l’aime aussi en tant que pourfendeur des turpitudes de la vente de vin en ligne.

 

 

 

C’est un homme honnête, intelligent et généralement pondéré dans ses jugements.

Il arbore des chemises bariolées et extravagantes, parfois d’un goût douteux, mais je crois qu’on manque de critères pour apprécier le « BEAU ». C’est peut-être lui qui a raison.

 

Mais Jim a la passion du cyclisme professionnel, et notamment du Tour de France. Ceci le mène, non pas à nier toute forme de dopage dans le milieu du sport, mais à minimiser sa présence. Durant toute la durée de cette compétition, vous trouverez des billets informatifs comme celui-ci dans les pages de son blog, Jim’s Loire.

 

Par ailleurs, je suis un fervent lecteur de ses écrits, qui m’apprennent beaucoup de choses.

 

Chaque fois que j’en aurai le temps, je mettrai en ligne un bref billet d’humour et d’humeur, comme une taquinerie à son égard, jusqu’à en devenir lassant.

 

 

Concernant le prologue liégeois

 

Jadis, la prison de Lantin servait de lieu de réunion aux comités régionaux du parti socialiste dans la Province de Liège, du moins on le raconte. Maintenant que la présence de M. Di Rupo à la tête du gouvernement belge a dû conférer une espèce d’immunité à ses petits camarades et à ses clients et qu’on a dû obtenir la levée d’écrous pour la majorité d’entre eux, peut-être reste-t-il assez de cellules vides pour tous les membres de la caravane qui trempent de près ou de loin dans les activités d’empoisonnement systématique des coureurs. Voilà de quoi optimiser le taux de remplissage de l’établissement !