LES « COUM GOURMANDS » DE LA COUME MAJOU

A la Chèvrerie des Chênes (Tarn & Garonne), en terrain neutre !
A la Chèvrerie des Chênes (Tarn & Garonne), en terrain neutre !

Les vacances estivales ont bien commencé pour les Pyrénées Orientales.

Alors que le reste de l’hexagone connaît les intempéries, le littoral méditerranéen baigne sous le soleil : « pourvou qué cela dourre ! ».

 

 

 

 

Il est grand temps que je livre à mes compatriotes – et aux Français ayant choisi ce coin de villégiature – qui passent leurs vacances ici nos bonnes adresses : les « Coum Gourmands ».

 

Nous allons procéder par ordre géographique : la Mer, l’arrière-pays du littoral, la Montagne et ses abords, le Riberal et les Aspres, Perpignan enfin.

 

Cliquez ICI pour être redirigés vers la page spéciale sur le site, avec un lien vers tous les établissements du département qui présentent un ou plusieurs de nos vins. Christine les a tous contactés personnellement, c’est nous qui livrons et vous pouvez leur rendre visite en toute sérénité .... mais pas les yeux fermés car il faut aussi souvent profiter du décor et de l’ordonnancement des assiettes ! Chaque fois que nous le pouvons, nous allons affiner notre perception de leur travail.

 

Ce blog du jour est sans intérêt si vous ne cliquez pas.

                       

En résumé toutefois:

- Sur la côte catalane, on commence aux confins de l’Aude, à Port Barcares, avec

  l’Agit’hé.

- Ensuite, on passe à Canet-Plage : le Don Quichotte.

- On termine à Port-Vendres, aux Jardins du Cèdre.

- L’arrière-pays littoral, c’est le nouveau « Pierranne ».

- Cet arrière-pays, c’est aussi notre duo d’Argelès : il y a le Cayrou et la Bartavelle.

- Exit la frange côtière : Molitg-les-Bains avec le Grand Hôtel des Thermes et

  surtout le Château de Riell.

- Il faut monter également vers Clara, aux Loges du Jardin d’Aymeric.

- On continue à prendre de l’altitude vers la Senyera à Villefranche.

- On arrive à présent au Casino de Font-Romeu.

- C’est au tour de l’Hôtel Planes de Saillagouse.

- A Bourg-Madame : le Luvintia.

- Enfin, l’Auberge Catalane à Latour-de-Carol.

- Redescendant vers « le plancher des vaches » l’Hostal de Castelnou.

- A deux pas de chez nous, l’Auberge du Cellier de Montner.

- L’Auberge de Sournia, en plein Fenouillèdes.

- Loin dans le Haut-Vallespir: le Relais à Prats-de-mollo.

- Nous terminons par Perpignan : le Garriane de .... Garry et Ariane et la Galinette,

  de Monsieur Christophe Comes.

 

  

Si je n’étais pas ... moi, je terminerais ici cette chronique, déjà bien assez longue. Mais je souhaiterais y ajouter quelques doléances :

 

. dommage que les Feuillants de Céret n’aient pas pu continuer à laisser libre cours au talent de Jean Plouzennec, le « patron » des Toques Blanches du Roussillon, et à son beau-frère. Qu’est-ce qu’on y mangeait bien.

J’aurais aimé présenter mes vins sous les platanes chers à Chaïm Soutine !

 

. dommage que le sommelier (hollandais lui aussi) de notre Bart Thoelen national soit un irréductible défenseur des bouchons en liège.

J’aurais aimé continuer à voir mes vins à sa carte, comme au temps de Pierre, son prédécesseur ... liégeois, que je salue ici.

 

. dommage que l’autre Eric Planes – on le voit ce dimanche – n’ait plus d’adresse à lui, comme au temps de l’August’Inn.

J’aimais et le bonhomme et sa cuisine.

 

. dommage enfin que l’excellentissime Lijima Masashi ne soit pas convaincu de l’accord de ses préparations aux limites de la « fusion » avec mes rouges plutôt costauds et dommage aussi – mais c’est compréhensible – que les gens veuillent surtout déguster du Collioure sur la Côte Rocheuse.

Christine continuera à lui montrer mes millésimes plus récents

et on lui fera goûter notre blanc, nouveau-venu.

 

BON APPÉTIT !

 

 

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