LE SOURIRE DE LA TRÉMIÈRE

Roses trémières
Roses trémières

 

 

 

 

Trémière, trémière ...

je ne savais pas ce que c’est quand Christine m’en a parlé la première fois.

Pour moi, c’était Alcea rosea,

la passerose.

En fait, le nom viendrait d’une altération de « Rose d’Outremer », suite à leur importation au retour des Croisades.

 

  

On les appelle aussi

« Bâtons de Jacob ».

 

 

 

Jacob, vous savez, le petit-fils d’Abraham, celui qui aimait bien les lentilles.

Il appréciait aussi les sports de contact d’ailleurs. Il l’a prouvé en se frottant à un ange, durant toute une nuit à ce qu’on dit. C’est sans doute ce qui a justifié le rapport avec le « bâton ». A moins que ce ne fût sa descendance pléthorique :

13 gosses !

Enfin, « il faut bien que génèse se passe », pas vrai.

 

Il ne s’agit pas de « roses » à proprement parler, mais de plantes voisines de la guimauve et de l’hibiscus. Elles sont le plus souvent bisannuelles, parfois vivaces et peuvent atteindre 3,5 mètres de haut dans certains cas. Leur couleur varie, allant du blanc au violet – surtout au Parc Astrid – en passant par le jaune, l’orangé ou le bleu.

 

Je vous passerai leurs propriétés cultivales, je n’ai pas la main verte.

Par contre, on leur prête des vertus médicinales : émollientes et anti-glaireuses ; ce qu’elles facilitent en bas, elles le retiennent en haut, la nature est bien faite.

 

Celles de mon illustration sont quercynoises mais nous en avons pas mal par ici. On en a rencontré énormément sur les îles vendéennes.

 

On n’en croyait pas nos ... Yeu(x),

en avions gros sur la patate (de Noirmoutier)

et plein la ... Ré à la fin.

 

 

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