Pas du tout, mais la fin de journée vit notre « party » se préparer à rejoindre la navette vers l’aéroport pour y abandonner les « djeuns » et il a bien fallu penser à se procurer quelques victuailles.
Je vous entretiendrai des autres étapes marquantes de notre escapade dans la capitale catalane mais il me semble que cet instantané du Mercat de Sant Josep, à la Boqueria – du nom de la porte de la ville où on vendait jadis la viande – traduit bien la ferveur de la cité pour la bonne chère.
Il m’a permis de remplir au moins 3 des objectifs assignés au départ : trouver du tamarin (nous allons confectionner des chutneys cet hiver) de qualité, ramener un peu de bellota (n’oubliez pas de bien prononcer y pour le double « l » mouillé), acquérir une ou deux bouteilles de Jerez.
Notez que, la fermeture approchant, les étales à poisson étaient vides et nettoyés. La plupart des autres étalages commençaient à tirer leurs rideaux de fer.
J’ai eu du mal à cadrer un plan sans la présence
de Japonais faisant .... la même chose que moi.
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