A FRIEND IN NEED IS A FRIEND INDEED

Provence, été 1997
Provence, été 1997

 

 

Votre vigneron favori n’est

pas dans son assiette

depuis une paire d’heures.

Il n’aime pas se répandre mais ce blog pourrait servir,

POUR UNE FOIS,

à rameuter un ami

qui en a besoin.

 

 

 

 

Celui-ci va mal ces derniers temps, alors que tous les éléments sont là pour qu’il coule des jours de bonheur, sinon de sérénité.

 

J’ai eu une boîte de « Petit Chimiste », j’ai possédé un Meccano® et un kit de construction électronique ; donc, je ne vais pas jouer au « Petit Psychologue Nathan ». Néanmoins, son dernier jeu à lui consiste à générer de l’inquiétude auprès de ceux qui tiennent le plus à lui, à se mettre personnellement en danger et à détruire un maximum d’acquis.

 

Il est temps qu’il se manifeste. Personne ne le juge mais personne n’attend non plus de lui des réalisations impossibles. Qu’il se rappelle du trépied de Bert :

nous avons tous, au moins une fois dans notre vie – et moi bien plus souvent que cela – vu un pied se briser et un autre chanceler. A chaque fois, le tabouret s’est remis droit. Par contre, un trépied qui n’a plus du tout de jambe ...

c’est une planche sur laquelle il ne fait pas bon s’asseoir.

 

Je sais qu’il passe beaucoup de temps devant un moniteur et un clavier.

J’espère qu’il tombera sur ce billet.

Qu’il fasse signe.

Qu’il prenne le temps d’une pause et débarque ici s’il le souhaite.

Je pose néanmoins des conditions – car je le connais bien :

pas de vieux linge sale en pile dans un coin de sa piaule,

pas de serviettes de bain trempées aux quatre coins de la salle d’eau et

pas de razzia sur mes cornichons au vinaigre !

 

 

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Commentaires: 1
  • #1

    Thierry Charlier (lundi, 10 décembre 2012 19:14)

    Tu as même eu une pochette de crayons de couleurs. Pour moi, ils étaient empoisonnes et je ne pouvais donc même pas les toucher, la, sur les premières marches de l'escalier, au 60 rue Defacqz...