RAPPROCHEMENT AVEC LES PLANTIGRADES

Elle est pas mignonne, ma petite ourse ?
Elle est pas mignonne, ma petite ourse ?

 

 

 

 

 

La France s’est vue rappelée à l’ordre

par la Commission Européenne

car elle ne tient pas

ses engagements contractuels

envers la conservation de l’ours brun,

notamment dans les Pyrénées. Voir ICI.

 

 

 

 

 

 

 

 

J’avoue avoir du mal à prendre parti sur le sujet : la présence de l’ours ne me paraît pas réellement compatible avec des activités humaines, qu’elles soient pastorales ou touristiques, dans son aire de vie. En outre, il sort de sa zone habituelle dès que la pression alimentaire le rend nécessaire.

 

Par contre, l’argument de la biodiversité et de son antériorité me paraît totalement recevable.

 

Comme toujours en France – mais où en va-t-il réellement autrement ? – les différents lobbies dictent l’attitude des politiques, beaucoup plus qu’une stratégie réfléchie, concertée et projetée vers l’avenir. Les bergers, les chasseurs et certains randonneurs ne veulent plus de l’ours, qui a fait tant de victimes humaines par le passé, sans parler de son impact sur le cheptel (ovin, caprin et même équin). Enfin, l’indipensable patou est un vrai fléau pour le promeneur du dimanche.

 

 

Moi, en tout cas, après avoir sympathisé avec les négrillons

d’entre les ursidés dans les rues de la capitale catalane

à la fin du mois de novembre (voir ICI),

c’est avec la variété claire que j’ai essayé d’établir

des liens en pleine Salanque.

J’ai même pris des mesures de protection : avec cette ourse blanche,

c’est sous le mode du « safe sex » que j’ai entamé ma drague.

Christine est intervenue à temps, me criant :

 « Tu te crois au Sofitel, peut-être ? ».

Elle n’y va pas sur la plante des pieds, celle-là !

 

 

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