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Notre défunte cuvée, objectif AF 85 mm, F 4
Notre défunte cuvée, objectif AF 85 mm, F 4

 

 

 

 

 

 

Où l’on célèbre une cuvée défunte

qui nous laissera

beaucoup de bons souvenirs.

Où l’on se pose aussi

des questions techniques,

ainsi qu’à vous,

les photographes éclairés

parmi nos assidus lecteurs.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

J’ai déjà raconté l’histoire qui présida à la naissance de la cuvée

L’Eglise de Coume Majou, en 2006 .Voir ICI .

 

Après de bons et loyaux services, c’est la première fois depuis la création du domaine qu’une cuvée importante de vin rouge est épuisée. Bien sûr, nos rosés, blancs, vins doux et surtout La Loute, eux, ne font que rarement la jonction d’un millésime à l’autre.

 

Celle-ci a fait les beaux jours du "Jardin des Sens" des frères Pourcel à Montpellier pour son lunch de l'hiver 200-2011, de la jolie terrasse tout en haut du village de Castelnou, de la ginguette du bord du Canal du Midi à Castelnaudary (chez Gigi), du "Compostelle" de Pierre Roudgé à Aumont-Aubrac, pour n'en citer que quelques-uns.

 

Critiquons ensuite le photographe, mais accordons lui les circonstances atténuantes : la lumière est largement naturelle, avec l’appoint d’un flash automatique dirigé vers le plafond, blanc immaculé. Je ne suis pas un spécialiste en éclairages.

 

Par contre, l’objectif de type « portrait », petit cadeau pour mes fêtes de fin d’année en 2011 déjà, fait des merveilles. Même en ouvrant assez grand le diaphragme, pour ne pas avoir à craindre le « bougé », la netteté est tout à fait satisfaisante.

 

C’était bien pratique le zoom court, et je l’utilise fréquemment, mais il ne procure pas ce piqué, même avec des images de grande densité. Je pense que j’en reviendrai petit à petit à un set d’objectifs à focale fixe. Pour l’instant, l’achat de verre optique ne constitue pas la priorité financière de l’exploitation.

 

En fait, j’avais liquidé en seconde main tout mon matériel argentique en 2006, à la rue du Midi de Bruxelles, quartier bien connu des photographes amateurs, des amateurs de gastronomie et des élèves de l’Académie. En échange, j’ai acquis à cette occasion mon premier boîtier d’une marque japonaise qui fait plus penser à ta mère qu’à une pièce d’armement lourd. Il s’agit d’un D70 et je ne me suis pas servi d’un centième de tous les gadgets et réglages qu’il offre. En mangeant au « Temple des Délices » du Jardin Pairi-Daiza, je l’avais laissé par bêtise et par terre, contre une plinthe, et il a été bousculé, d’où fracture de la paroi plastique du petit écran de contrôle, mais sans aucune conséquence. Or, il y a presque 2 ans de cela.

 

Par contre, il refuse de se déclencher par instants, depuis quelques mois, et m’indique « CHA ». Si j’ouvre le boitier, sors la carte-mémoire et la réinsère, cela règle le problème 2 fois sur 3. Un revendeur du centre de Perpignan m’a dit que « c’est la maladie des boîtiers » et qu’il n’y a rien à faire. Une prise en charge en atelier coûte beaucoup plus cher qu’un boîtier nu!

 

Bon, je vais quand même essayer de passer délicatement

avec un pinceau propre sur les contacts, s’il y en a,

et peut-être reformater la carte ou en acheter une autre.

Je pourrais également acquérir un boîtier d’occasion,

mais le Crédit Agricole m’en empêche,

car lui aussi a bloqué ma carte.

Quelqu’un a-t-il un avis ?

 

 

 

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