DE L’AUTRE CÔTÉ DU BOIS DE MEERDAEL

Born in 2001
Born in 2001

 

On connaissait le

« Bois de Clamart »,

si cher au coeur

de Georges, et le

« Petit bois de Saint-Amand » de la

Dame en noir.

Vous devrez ajouter

ces futaies brabançonnes

à votre florilège forestier.

 

 

 

En effet, l’accueil jamais démenti dont je profite à Pécrot (of SNCB fame) permet à ma bonne vieille partenaire, une Peugeot du même nom filant allègrement vers ses 370.000 km, de trouver un refuge accueillant. J’y dors entre les nounours taille XXL et les trophées équestres, dans l’ex-chambre de la fille de la maison, qui me la prête bien volontiers.

 

Outre le fait qu’une ancienne camaraderie nous unit et que 30 années environ nous séparent chronologiquement, elle découche régulièrement, venant d’emménager dans une grange retapée avec habileté par son compagnon, qui lui a d’ailleurs aussi habilement fait un petiot, William, arrivé parmi nous en septembre dernier. L’honneur est ainsi sauf. On dit qu’un chien de taille imposante, genre Leonberg, ne devrait pas tarder non plus. Là par contre, je ne sais pas quel rôle Kevin a bien pu jouer.

 

J’en profite pour remercier le propriétaire des lieux pour son aimable hospitalité.

Il participe d’ordinaire au bon fonctionnement du service des maladies infectieuses de l’Hôpital Saint-Pierre à Bruxelles – c’est sans doute pour cela qu’il me laisse ses clefs ! – étant, en parallèle avec Stéphane Dewit, l’autre bras droit du Prof. N. Clumeck. Pour cette raison, des fréquents séjours de travail à l’étranger le gardent éloigné des frondaisons du Brabant Wallon et c’est alors à ses voisins qu’échoit le lourd travail de me donner accès aux lieux. C’est compliqué d’être un « sans domicile fixe » au royaume de Belgique.

 

Je vous avais prévenus : on m’a glissé à l’oreille que certains me lisaient avec amusement et que ma diarrhée calamique et anecdotique – qu’on n’est d’ailleurs nullement forcé de subir – pouvait perdurer. Vous en aurez donc, des récits. Et ce séjour éclair en Belgique m’a donné plus que matière à raconter, ainsi qu’un grand nombre d’illustrations cocasses ou insolites.

 

En route donc vers de folles aventures ou de banales péripéties :

« Comediante, tragediante ! » me voilà peut-être

en route sur les traces du vieux Chiaramonti.

J’espère que Savone sera mon terminus

et que je n’irai pas forcément jusqu’à Fontainebleau .

 

 

 

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