APPAREMMENT, C’EST PENFOLDS D’ORTHOGRAPHE

Peine perdue ?  (© :☻♀◊╛∑◘)
Peine perdue ? (© :☻♀◊╛∑◘)

 

 

 

 

Je n’ai pas tout compris,

mais c’est drôle.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Un bon journaliste vérifie ses informations et protège ses sources. Je ne suis qu’un infâme ancien chroniqueur sans carte de presse qui renoue parfois avec ses amours d’antan. Je n’ai donc pas tout compris – ça, cela ressemble bien à un vrai journaliste – mais je vais quand même vous révéler d’où je tiens ceci.

 

Une marchande de vin coréenne (du sud, je suppose) est « amie » avec ma meuf sur l’un ou l’autre réseau social. Christine utilise le traducteur automatique, car son anglais est imparfait. La Coréenne devrait le faire aussi, car elle croit que son anglais est parfait, elle !

 

L’habitante du Pays du Matin Calme a envoyé à notre Ritale l’image que je vous ai postée, avec comme information qu’il s’agit de la copie – frauduleuse – qu’une winery chinoise a faite d’une cuvée de l’Australien Penfolds, qui désigne souvent ses vins de la mention « bin numéro autant ». Mais, apparemment, les petites maisons des sinogrammes ont un peu dérapé et P.EN.F.O.L.D.S est devenu « painfaids » chez l’imprimeur, alors que la police de caractères est correcte, elle. C’est élégant, la calligraphie asiatique.

 

Nos amis chinois ont mieux copié

les pratiques de la mafia, les panneaux solaires

ou les bagages Louis Vuitton® que le pinard australien.

Ils devraient peut-être essayer Moët Hennessy,

c’est plus dans leurs cordes !

 

 

 

Écrire commentaire

Commentaires: 0