Mardi soir, en plein Jura,
un couple de dîneurs
assis à côté de nous
avec qui nous avions
engagé la conversation
nous signalent
qu’ils habitent ... Jodoigne.
Leur accent me les avait fait prendre pour des Liégeois, cependant. La Loute elle, également domicilié dans cette bourgade, parle avec des intonations neutres. Elle débarquera ici à la mi-août, en bande organisée. Je m’en réjouis et en tremble d’avance. A suivre.
Ici, je vous la représente attablée – oui, avec le Papounet, c’est fréquent – au Schun Ming, entre des pinces de crabe et des nems. Nous avons eu une conversation assez variée, ce qui en soi-même ne présente rien d’anormal entre un père inventif et sa fille unique préférée qu’il ne rencontre que 5 ou 6 fois par an.
Mais les circonstances ajoutent du piment à la situation, et pas rien que dans l’assiette. Tout d’abord, avez-vous déjà échangé des propos entre des pinces de crabes et des nems ? Ce n’est pas banal. Ensuite, la Loute avait vu son lit à huit heures du mat’ seulement. Cela non plus n’a rien d’inhabituel le dimanche chez les « djeuns », mais d’en ressortir pour midi, et pimpante, voilà bien la performance.
On te kiffe, la Loute, et tu es resplendissante !
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Loïc (lundi, 01 juillet 2013 20:16)
Très jolie photo, albeit slightly overlit.