ET PENDANT CE TEMPS-LÀ ....

 

 

 

 

 

 

L’Air Force

et Tsahal

sont déboussolés :

Denis ne répond plus !

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Je vous parlerai bientôt – en néerlandais - de deux ouvrages du journaliste Rudi Vranckx. J’ai appris grâce à lui comment retrouver la trace des gens importants. Voici les adresses mail que vous voyez se superposer à l’écran quand vous googuelez sur notre ami : ICI et ICI. Avant cela, un message prévient : « pas besoin de googueler, parlez dans l’hygiaphone ». Je ne sais pas à quoi il fait allusion, d’autant que j’ai vu le même Porte d’Auber(t)villiers en-dessous d’une affiche vantant les mérites d’un régime amaigrissant, la méthode Bertignac.

 

Moi, grâce à mes connexions non pas inter- mais bien alto-sidérales, j’ai pu reconstituer la dernière image connue de cet implacable traqueur de crustacés. On l’appelle en effet parfois le Lotus 1-2-3^® du Kamchatka. Il a recours à ce vieux logiciel de tableur pour prendre ses proies dans la nasse quand, éreinté, l’Excell, lui, il se tasse et refuse tout service. King Crab, prends garde à toi, car, tel l’amour déguisé en enfant de Bohème, Boireau n’a jamais connu de foie et c’est du Muscadet bien vif et gouleyant qui coule dans ses veines proto-vendéennes. D’ailleurs, la photo ne le dissimule pas.

 

Vous remarquerez, en tout cas pour les pères les plus spicaces d’entre vous, que les couleurs de cette Cène sont des plus vives. Elles rentrent toutes dans le spectre de lasers à longeur d’onde variable, mais néanmoins contrôlée et ... ouvrent la porte – ça, c’est très drôle – à toutes les interprétations possibles. La baguette, comme multipliée par miracle dès mon arrivée lors de notre passage hélas déjà si lointain, y croque entre les quenottes après avoir quitté nos mitaines* et la mayonnaise, maison évidemment, ne cherche pas à cacher son émulsion devant tant de fraîcheur. (* Là, il y a double jeu de mots, cherchez bien)

 

Mon intérêt pour sa personne, toujours présent en filigrane, se trouve renforcé car là où il se trouve, nous aurions aimé, « la Délicieuse » et moi, être aussi. Les aléas climatiques et les ventes timides du début 2013 nous coincent malheureusement ici, où le travail ne manque pas.

C’est partie remise.

 

Bonjour à vous tous, là-bas,

sachez que notre monde à

les ... yeux rivés sur vous,

comme une molécule d’E.P.O

sur un atome d’oxygène

au passage de la flamme rouge.