AUTANT PRENDRE UN PROFESSIONNEL

 

 

 

 

   Par un curieux raccourci,

les nouvelles du jour me portent

en même temps l’image

qui illustre ce billet,

un très mauvais clip

de mamy Bruni et

différents commentaires ayant trait

aux restos du coeur.

 

 

 

 

 

 

J'attribue l’image à la signature qui figure sur le .jpg que les e-mails m’ont fourni, sans aucune certitude. Si un autre Gaston Bergeret me cherche des noises à ce sujet, je retirerai l’illustration. J’ai autre chose à faire de mon temps, et de mes pauvres finances, que de les engager dans des actions juridiques stupides.

 

Le clip de la Bruni (ICI) doit être le plus mauvais d’une longue série dont elle a le secret. Alors que cette ex-belle femme avait une intonation agréable – je ne dirai pas une voix – des textes parfois intelligents et spirituels et grattait un rien les cordes de la guitare, elle est tombée maintenant dans la nullité absolue. Je ne sais si c’est la chute de son exposition médiatique ou celle des oestrogènes qu’elle commence sans doute à subir, mais il faudrait qu’elle raccroche. Il n’y a plus assez de crédit sur sa carte SFR.

 

Quand Coluche annonçait sa candidature à l’Elysée, fin 1980, et que des sondages sérieux le créditaient de 16 à 20 % des intentions de vote, le vieux volcan endormi de Chamalières et la Mitte commençaient à flipper. Je fais d’ailleurs partie de ceux qui adhèrent à la thèse de son assassinat par un des hommes de main de Tonton une demi-douzaine d’années plus tard. Colucci avait expliqué, en substance et sous forme de boutade que, tant qu’à élire un clown, autant choisir un professionnel.

 

Il me semble que le portrait photoshoppé que je vous présente

va bien dans ce sens. Le successeur de Hollande risque fort d’avoir à nouveau les traits d’un clown venu de la Puszta.

Je lui reconnais d’ailleurs un certain talent de comédien, moins qu’à de Funès cependant. Mais il risque bien de « ramener sa fraise ».