ULTIMA THULE

 

 

Ce blog,

je le savais,

est à présent lu

en Islande ...

 

 

 

 

 

 

L’analyse des trafics me confirme trois accès à mon site depuis un raccordement du côté de Reikjavik.

 

Pour honorer ce lecteur, un fidèle de nos écrits, je me permets de lui montrer deux des adorables poulains rencontrés hier à la limite entre la France et l’Espagne, à hauteur du Pla de las Salines, après le lieu-dit de la ovella morta (brrrrr !). Il s’agit généralement de croisements au départ de traits comtois, pour servir de viande de boucherie.

 

Ceux-ci n’ont que quelques semaines et se laissent généralement facilement approcher.

 

En arrière-plan, de l’autre côté du plateau cerdan, on aperçoit tout le Capcir et plus haut le Massif du Carlit, qui laissera l’accès à l’Ariège puis à la route de Toulouse, de l’autre côté du Col du Puymaurens. On devra obligatoirement traverser le territoire de cet autre équidé de classe : le cheval de Meyrens.

 

 

Henni soit qui mal y panse !

 

 

 

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Commentaires: 1
  • #1

    Charlier, Thierry (vendredi, 19 juillet 2013 17:39)

    Par Fluga et Eydfaxi, les deux chevaux des sagas, je reconnais la en effet deux beaux poulains ! Je prie qu'ils ne finissent pas chez Spanghero !