C’ÉTAIT LA SAGRA DE SANT’EFISIO TOUT EN HAUT DE LA COUME MAJOU

Le « Marc » de ce blog, ami, conseiller, sponsor, travaillait jadis 

dans le milieu de

la chair humaine.

Il possédait une garçonnière sur les bords du Maelbeek et se reposait, pour ce qui était du bien-être de ses patients « tangents »,

sur un réanimateur

d’origine sarde.

Non, ce n’était pas Paolo Fresu, même si le bugle vous réveille parfois un mort. Et je l’ai rencontré en 1990, au cours d’un voyage pour lequel je jouais au « gentil organisateur » entre la Thaïlande, l’Indonésie et Sulawesi. Nous avons immédiatement sympathisé. Puis, la vie étant ce qu’elle est, nous nous sommes un peu perdus de vue jusqu’a ce jour de 2013 où j’apprends par une Gantoise de mes connaissances, incidemment mère des parrains de la Cuvée Jolo, qu’il est son cardiologue préféré.

Et bien, Mesdames et Messieurs, Efisio m’a rendu visite à la Coume Majou, avec sa compagne, une continentale sang-mêlé - il y a comme des Abbruzes dans ses gènes – et nous avons même poussé jusqu’à la terrasse de notre « vioque », le Tonton de La Franqui, pour avaler les pomodori de chez nous, faire une razzia sur l’épaule d’agneau presque confite – grosse présence de La Loute 2011 sur ce plat – et rentrer at home vers ... deux heures du matin. Christine fait un très bon

« Bob ». Je ne sais ce que vaut mon ami retrouvé comme « Accabadora » (accabadoro se dit-il ?) mais moi j’ai passé un excellent moment avec lui.

Il a même entrepris de développer ma poitrine :

il me conseille d’ajouter de la spironolactone

à mon traitement anti-hypertenseur. Pas sûr !