POUR L’AUDIMAT

 

 

 

 

 

Voilà un billet

n’ayant comme seul but

que de faire monter le nombre

de voyeurs,

euh, lecteurs, pardon.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Et ce n’est même pas vrai. Il s’agit d’une photo de classe, et partant, d’une parfaite innocence.

 

Comme notre sujet, qui est ici un modèle mais certainement pas un objet, fréquente à nouveau l’enseignement officiel, la tarification de ce souvenir a baissé par rapport aux prix du collège. Eh oui, l’évêché prélève sa dîme sur tout. Heureusement qu’il ne s’agit pas d’une photo de nu – il en est de très jolies et de très chastes – car sinon le « denier du culte » perdrait sa désinence.

 

Je profite de l’occasion pour remercier publiquement le Docteur Michel Duqué et sa femme Raymonde Moerens pour leur patience et leur talent durant toute la période du traitement d'orthodontie de la Loute. Il faut dire que Raymonde fut des années durant la condisciple de ma mère : il y a plus d’une manière d’apprendre la patience (lol !).  

 

 

Au départ, les géniteurs de Virginie portent une lourde responsabilité : mes ratiches sont « à chier » de naissance et des soins approximatifs durant mon enfance n’ont rien arrangé. Quant à la maman, c’est une prognathe macroglosse de première catégorie ! En plus, j’ai laissé ma fille sucer tout ce qu’elle voulait comme bonbons durant toute sa prime jeunesse et n’ai pas pu empêcher une chute fatale à une incisive dans un préau d’école peu après : je dragais les instit. de surveillance.

 

Plus sérieusement : tu es très belle, ma fille.

La cuvée La Loute a bien de la chance

de posséder une marraine telle que toi.