Coume Majou
abandonne
petit à petit le
“prêt-à-boire”
pour le
“sur mesure ».
Un client fidèle, connaisseur de surcroît, me réclame quelques bouteilles de syrah 2011. Hormis les cartons mis de côté pour « L’Esprit du Vin » (une * Michelin, Albi), nous n’en avons plus. C’est comme les sangliers après un banquet dans un petit village d’irréductibles gaulois que vous connaissez bien : toute la niche est vide.
Toute ?
En fait, non, j’ai gardé quelques hectolitres de ce vin gouleyant pour fignoler l’assemblage final de la Cuvée Majou 2011, qui sera mise en bouteille au printemps. Je me suis donc attelé à en soutirer quelques litres, à en remplir nos élégantes bouteilles allongées et à les pourvoir d’un bouchon Vinolok. Classieux, non ?
Et en plus, c’est collector.
PS : le cliché est pris devant la cuve contenant ce vin
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