“The proof of
the pudding is
in the eating”.
Christine avait suivi le stage « brioche » du champion du monde de pâtisserie, le jovial Olivier Bajard (voir ICI).
Ce week-end, je vous l’ai dit (ICI), elle a sorti le malaxeur et s’est mise à toutes sortes de préparations enfarinées, farineuses et pharamineuses.
Vous découvrez plic-ploc des pâtes au blé dur, mais surtout une tarte tatin, des brioches « mode Bajard » et, dans la boîte métallique, des petites brioches au sucre sans essence de fleur d’oranger – tant mieux. On n’oublie toutefois pas que je suis diabétique : la « tropézienne » n’a pas été réalisée car sa mousseline, une crème pâtissière allégée à la crème fraîche, aurait été de trop. Hihi !
Reprenant son calepin, elle a suivi à la lettre les recettes du maître – y compris les 20 minutes de pétrissage de la pâte à brioche, avec incorporation progressive du sirop, du miel et tutti quanti. Ce fut un bon test d’endurance pour le bol mélangeur – cadeau très apprécié venant de mon frère – n’appartenant pas aux marques de prestige au prix exorbitant (Kenwood™, Kitchen-Aid™ et autres) mais remplissant très bien son rôle. Et comme c’est au pied du four qu’on reconnaît le mitron, notre matronne a passé maxima cum laude cette épreuve : elle mérite le certificat qu’elle avait obtenu il y a dix jours.
Rendant visite à l’excellent Monsieur Laviose, qui a accepté de me réparer un boîtier de montre-bracelet en or que j’ai écorné par maladresse – normal, il est joailler – mais est surtout le créateur du bijou qui sert d’étiquette à notre Grenat de la Coume Majou, celui-ci m’a confié que son épouse a suivi tous les séminaires réservés aux amateurs chez ce pâtissier. Je ne sais pas si un cordon bleu sied tellement pour enfiler les grenats mais au pétrin, « ça le fait » !
Monsieur l’ pâtissier (bis)
Fais-moi crédit,
Je n'ai plus d'argent, (bis)
Je paierai samedi.
Si tu m’donnes pas (bis)
Un cake bien plein
J' te casse la gueule (bis)
Dans ton pétrin.
Ben oui : c’est pas moi, c’est ma soeur ....
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