JE CONNAIS BOUMEDIENNE

Aperçue ce jour près du Petit Saint-Bernard
Aperçue ce jour près du Petit Saint-Bernard







Comment voulez-vous

que ce patronyme soit

familier à un Belge? 












Bien sûr, il y a les livres scolaires et les manuels d'histoire. J'ai vaguement entendu parler du deuxième chef d'état de l'Algérie après que celle-ci eût arraché son indépendance. A cette époque, le pouvoir de mon pays s'efforçait de soutenir le deuxième président de la RD du Congo, Mobutu Sese Seko, après avoir commandité l'assassinat de Patrice Lumumba. Cela a pris, tout naturellement, plus de place dans mon disque dur.


Mais ensuite, à la fin des années '70, M. Houari Boumédiène est venu mourir en France (!) des suites d'une affection que les néphrologues connaissent bien: la gammapathie monoclonale de Waldenström. Cette maladie rare m'a évidemment poussé à m'intéresser un peu aussi à la biographie de l'homme de Petite Kabylie.


Par contre, c'est sans doute vers 2006 que j'ai croisé - peut-être - un avatar de Hayat Boumedienne dans les environs de ma modeste demeure à Corneilla. J'ai retrouvé cette séduisante jeune femme, un peu capricieuse, dans le quartier Saint-Gaudérique de Perpignan, puis l'ai tantôt perdue de vue, tantôt rencontrée à nouveau: sur la côte catalane dans le milieu interlope de la voile, du vent et du cabotage, en Savoie dans le cercle des Russes et du prêt-à-porter de luxe, et enfin au Pays Basque dans la mouvance indépendantiste. On la surnommait "kite", allez savoir pourquoi. J'ai ensuite perdu sa trace à Milan (drôle). 


Elle a fait sa réapparition au Pays de Galle, out of nowhere.


Et aujourd'hui, au hasard de FB, je tombe sur son portrait:

ce ne peut-être qu'elle!

Mais que font les renseigenements généraux? 




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